« Un homme dangereux » Gary Victor nous présente son dernier recueil de nouvelles

Sur une invitation de Refrain littéraire, l’écrivain Gary Victor a présenté son dernier recueil de nouvelles titré « Un homme dangereux ». Ce recueil de près de 120 pages renferme cinq nouvelles et est postfacé par des journalistes culturels et écrivains de renom : Roland Léonard, Jean Emmanuel Jacquet et Jackson Joseph.

Gary Victor agronome de profession a toujours fait de l’écriture son violon d’Ingres, sa passion favorite. Son œuvre littéraire honorée de plusieurs prix fait honneur à la littérature haïtienne contemporaine et lève le voile sur certaines facettes de la réalité sociopolitique de notre pays . Dans «  Un homme dangereux », Gary Victor a le don de tenir ses lecteurs en haleine jusqu’aux dernières pages grâce aux rebondissements et des situations inattendues dont lui seul connait le secret. « Un homme dangereux », écrit Jackson Joseph, voilà la nouvelle adresse du génie créateur de Gary Victor. L’imagination créatrice, ce don de dérivation n’a définitivement aucune frontière sous la plume du romancier haïtien le plus lu. »

Le lecteur en parcourant le livre se délecteront de : Le rêve fait chair , Madeleine, Un homme dangereux, L’ange déchu d’Amanda et La remise de temps » Ce sont des nouvelles qui oscillent entre le fantastique et le réalisme avec une fine psychologie des sentiments des personnages que l’auteur « d’Albert Buron », « Sonson Pipirit » ou « Dieuswalouwe Azémar » met en scène. Lors de la présentation de « Un homme dangereux », Gary Victor a expliqué que même ceux parmi nous qui sont sincères et animés de bons et beaux sentiments peuvent paraître dangereux à certains égards aux yeux des autres. La vente-signature de ce livre se tiendra à Piment rouge à Turgeau le mardi 5 juillet de 11 heures à à 18 heures avec la participation du chanteur et guitariste Wooly Saint Louis Jean. L’occasion pour les lecteurs de Gary Victor de se procurer de l’ouvrage.

Le National publie un extrait du recueil « Un homme dangereux ». « Un matin, je travaillais seul à mon bureau au ministère quand quelqu’un ouvrit la porte sans frapper, fonça sur moi, me saisit au collet, me soulevant de mon siège avec une force peu commune pour me projeter par terre. Le temps de me relever, cette personne était sur moi me rouant de coups de poing' abreuvant d’injures (...) P.22

 

Schultz Laurent Junior

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

0 COMMENTAIRES