Le virus qui ébranle le monde!

Le Corona virus balaie de plein fouet une planète devenue folle sous son joug implacable. Le mal progresse à une vitesse foudroyante et laisse peu de répit à ceux qui le combattent. C’est le cas de dire que nous sommes en face d’un blitz sanitaire. Le nombre de décès s’approche du chiffre fatidique des quinze mille. .Le monde fait donc face au plus grand défi sanitaire depuis la grippe espagnole. Un défi qui emprunte les voies royales de la mondialisation pour se démultiplier. Le virus circule en avion et TGV et gagne tous les points de la planète, même ceux oubliés par la mondialisation. Ce mal qui menace de nous infecter tous a aussi des conséquences sociales et économiques auxquelles le monde ne s’était jamais aussi mal préparé. En fait, la production est partout à l’arrêt, les travailleurs et les patrons sont dans la plupart des pays aux « abris ». Car il s’agit d’une véritable guerre et l’arme fatale n’est ni une super bombe à neutron, ni le dernier missile hypersonique de l’arsenal russe ou de le dernier fleuron de l’aviation américaine ;le monstre est biologique et traverse les humains comme unepassoire. Il est invisible et c’est ce qui le rend d’ autant plus redoutable.

Le Corona virus balaie de plein fouet une planète devenue folle sous son joug implacable. Le mal progresse à une vitesse foudroyante et laisse peu de répit à ceux qui le combattent. C’est le cas de dire que nous sommes en face d’un blitz sanitaire. Le nombre de décès s’approche du chiffre fatidique des quinze mille.

.Le monde fait donc face au plus grand défi sanitaire depuis la grippe espagnole. Un défi qui emprunte les voies royales de la mondialisation pour se démultiplier. Le virus circule en avion et TGV et gagne tous les points de la planète, même ceux oubliés par la mondialisation. Ce mal qui menace de nous infecter tous a aussi des conséquences sociales et économiques auxquelles le monde ne s’était jamais aussi mal préparé. En fait, la production est partout à l’arrêt, les travailleurs et les patrons sont dans la plupart des pays aux « abris ». Car il s’agit d’une véritable guerre et l’arme fatale n’est ni une super bombe à neutron, ni le dernier missile hypersonique de l’arsenal russe ou de le dernier fleuron de l’aviation américaine ;le monstre est biologique et traverse les humains comme unepassoire. Il est invisible et c’est ce qui le rend d’ autant plus redoutable.

Nous portons en nous l’objet de notre propre destruction. Un « ovni » qui vole de salive en salive et qui passe de main en main pour réaliser une chaîne de morts, qui remplace la chaleur humaine par celle d’une fièvre qui tue, la solidarité par la distanciation sociale, la gentillesse par la méfiance.

On peut toujours s’interroger sur l’ampleur de la catastrophe, sur la manière dont elle a surpris une humanité qui vit à l’heure de l’intelligence artificielle. Il se trouve que ce virus vient nous rappeler la fragilité de notre humaine condition, questionner notre mode de vie, et révéler les faiblesses de l’économie mondiale, la fragilité du système sanitaire même dans les pays les plus équipés.

Il y aura donc un avant et un après Corona virus. Les spécialistes sont tous d’ accord qu’ils’agit peut-être de la fin d’un monde ! Un monde où les eaux glacées de l’égoïsme ont noyé une partie de la planète dans les abîmes du sous-développement. Un monde ou les logiques nationalistes et impérialistes l’emportent sur les solidarités et le partage. Une humanité mise en berne par le Président Trump et ses « clones » ont réveillé l’isolationnismepasséiste au détriment de nouvelles solidarités.

Comme l’affirme, le penseur français Jacques Attali dans un article qui a fait le tour des réseaux sociaux : « À chaquegrande épidémie, les citoyens s’interrogent sur la marche du monde, le mode de production en vigueur et ses limites. Et ce genre d’événements augure de changements dramatiques et de profondes remises en question »

Aujourd’hui le monde se referme sur lui-même, et les villes se vident de leurs habitants terrés dans leurs appartements comme à l’annonced’une conflagration nucléaire. Un nouveau défi se pose à nous : comment rester solidaire tout en gardant une distance vitale ? Comment exprimer nos solidarités quand nous perdons nos repères affectifs, le contact corporel. Cette fusion des corps garant la survie de notre espèce.

Les laboratoires du monde entier se mobilisent dans une course contre la montre pour trouver un vaccin et un médicament. L’humanité finira par gagner cette bataille, mais à quel prix ?

Les philosophes, les penseurs de toutes les disciplines doivent se mobiliser pour repenser un monde tout neuf, au lendemain de ce désastre humain et économique qui nous attend en bout de parcours.

À l’heure de l’intelligence artificielle et de la dictature du digital, l’homme est placé devant un choix dramatique : se résoudre à mettre les mathématiques au service du bonheur humain ou ouvrir la boîte de Pandore qui donnera naissance à de nouveaux Frankestein.

RoodyEdmé

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