L'Insécurité, une industrie rentable en Haïti: une analyse des acteurs clés et des solutions nécessaires pour renverser la situation

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Introduction:

L'insécurité en Haïti est devenue une industrie rentable, qui profite à certains secteurs clés du pays. Le climat odieux de violence et de criminalité est alimenté par deux groupes de politiciens traditionnels : ceux qui faisaient partie de l'équipe sortante et qui ont échoué la population pendant leurs trois années au pouvoir, et ceux qui prétendaient être en opposition mais ne sont pas différents. Pour que tout nouveau gouvernement puisse réellement faire la différence, il ne doit en aucun cas s'associer à l'un ou l'autre de ces groupes. Cependant, le Conseil présidentiel est miné par la corruption, la malversation et les alliances avec les gangs, tandis que le premier ministre lui-même n'est pas soutenu par la population et est perçu comme ne servant pas.

 

I. Les politiciens traditionnels et leur rôle dans l'insécurité

Les politiciens traditionnels en Haïti ont joué un rôle significatif dans la perpétuation de l'insécurité dans le pays. Leur présence est constante, et ils ont été impliqués à différents moments au cours des 37 dernières années qui ont vu la déchéance progressive d'Haïti. Ils ont activement participé et bénéficié de la mauvaise gouvernance, contribuant ainsi à maintenir le climat d'insécurité qui règne actuellement.

 

A. L'équipe sortante et sa passivité improductive pour faciliter la descente aux enfers d'Haïti

L'équipe sortante, qui a passé trois années au pouvoir, a été caractérisée par une passivité improductive. Au lieu de prendre des mesures concrètes pour améliorer la situation sécuritaire du pays, elle a fermé les yeux sur les problèmes, permettant ainsi la détérioration continue de la situation. Cette passivité a créé un climat propice à l'épanouissement des gangs armés et à la prolifération de la violence.

 

B. La protection des gangs armés et la dilapidation des fonds publics

Les politiciens traditionnels ont également été impliqués dans la protection des gangs armés, qui sont devenus une menace majeure pour la population haïtienne. Plutôt que de prendre des mesures pour combattre ces groupes criminels, certains politiciens ont préféré les utiliser à des fins politiques et ont même été accusés de les financer. Cette complicité a permis aux gangs de prospérer et d'exercer leur pouvoir en toute impunité.

De plus, la dilapidation des fonds publics a été une caractéristique courante de la gouvernance des politiciens traditionnels. Ils ont détourné des ressources précieuses qui auraient pu être utilisées pour renforcer les forces de sécurité, améliorer les infrastructures et fournir des services essentiels à la population. Cette mauvaise gestion des fonds publics a contribué à aggraver l'insécurité en créant des conditions socio-économiques précaires, favorables à la montée de la criminalité.

C. Le blocage de la justice pour le président assassiné et la décision méchante de paralyser tout travail entrepris pour un développement réel au profit de l'oligarchie

Un autre aspect troublant du rôle des politiciens traditionnels dans l'insécurité en Haïti est le blocage de la justice. Lorsque le président a été assassiné, certains politiciens ont fait tout leur possible pour empêcher que la lumière soit faite sur cette affaire. Ils ont entravé les enquêtes et ont manipulé le système judiciaire pour protéger les responsables de cet acte odieux. Ce blocage de la justice a envoyé un message clair : l'impunité règne en Haïti, ce qui encourage davantage la violence et l'insécurité.

De plus, les politiciens traditionnels ont pris des décisions malveillantes pour paralyser tout travail entrepris pour un développement réel du pays. Ils ont favorisé l'oligarchie et les intérêts étrangers au détriment de la population haïtienne. Cette approche a entraîné une concentration de richesse entre les mains d'une minorité, tandis que la majorité de la population continue de vivre dans la précarité. Cette inégalité sociale et économique contribue à l'insécurité en créant des tensions et des frustrations au sein de la société.

En conclusion, les politiciens traditionnels en Haïti ont joué un rôle central dans l'industrie rentable de l'insécurité. Leur passivité improductive, leur protection des gangs armés, leur dilapidation des fonds publics, leur blocage de la justice et leur décision de paralyser tout travail pour un développement réel ont tous contribué à la détérioration de la situation sécuritaire du pays. Pour un véritable changement, il est essentiel de remettre en question le rôle de ces politiciens et de rechercher des solutions alternatives pour un avenir meilleur pour Haïti et sa population.

 

II. Les prétendues oppositions politiques et leur similitude avec les politiciens traditionnels

Les prétendues oppositions politiques en Haïti jouent un rôle important dans l'industrie rentable de l'insécurité. Malgré leur prétendue opposition au gouvernement en place, ils partagent de nombreuses similitudes avec les politiciens traditionnels, contribuant ainsi à maintenir le statu quo et à perpétuer le système corrompu en Haïti.

A. Ils font la politique pour la mangeaille, ils participent dans le gouvernement en ayant à leur emprise des sections de rentabilité, et pendant qu'ils partagent le pouvoir, participent à la dilapidation des fonds, vendent des postes aux plus offrants. Ainsi, ils assurent leur entrée sur la scène à la déchéance de celui-là au pouvoir actuel. Ainsi, ils perpétuent leur présence ces mercenaires politiques cupides.

Les prétendues oppositions politiques en Haïti sont souvent motivées par des intérêts personnels et la recherche de gains financiers. Ils voient la politique comme une opportunité de s'enrichir et de contrôler des sections lucratives du gouvernement. Pendant qu'ils prétendent s'opposer au gouvernement en place, ils participent activement à la dilapidation des fonds publics et à la vente de postes aux plus offrants. Cette pratique alimente la corruption et maintient le système corrompu en place. Leur objectif n'est pas de créer un véritable changement, mais plutôt de s'assurer une place sur la scène politique lors de la chute du gouvernement actuel.

B. Ils n'ont jamais eu aucune volonté de changement sincère. Ils sont là pour astucieusement perpétuer le système. Ce sont des agents multiples faisant le sale boulot de l'oligarchie, des ambassades contre le pays et le peuple haïtien.

Les prétendues oppositions politiques en Haïti manquent de volonté sincère de créer un réel changement. Leur objectif principal est de maintenir le statu quo et de perpétuer le système corrompu en place. Ils jouent le rôle d'agents multiples, travaillant de manière astucieuse pour l'oligarchie et les intérêts étrangers, plutôt que de défendre les intérêts du pays et du peuple haïtien. Leur participation au jeu politique ne vise pas à améliorer les conditions de vie de la population, mais plutôt à servir les intérêts de ceux qui les soutiennent.

 Les prétendues oppositions politiques en Haïti partagent de nombreuses similitudes avec les politiciens traditionnels. Leur quête de pouvoir et de gains financiers les pousse à participer à la dilapidation des fonds publics et à perpétuer le système corrompu. Leur manque de volonté sincère de créer un véritable changement et leur rôle d'agents multiples au service de l'oligarchie et des intérêts étrangers contribuent à maintenir l'insécurité en Haïti. Pour un véritable changement, il est essentiel de remettre en question ces prétendues oppositions politiques et de rechercher des alternatives qui mettent véritablement l'intérêt du pays et de sa population au premier plan.

 

III. Les conséquences du choix du Conseil présidentiel et du premier ministre

Le choix du Conseil présidentiel et du Premier ministre en Haïti a des conséquences significatives sur la situation de l'insécurité dans le pays. Il est important de comprendre les différentes implications de ces choix pour mieux appréhender les problèmes et trouver des solutions pour un véritable changement.

A. Les membres du Conseil présidentiel (CP) n'ont d'expérience politique que dans la corruption, la malversation et la mauvaise gouvernance. Ils sont choisis pour faire partie du CP dans le but de partager les bénéfices et de s'assurer que chacun ait sa part, comme cela se fait habituellement. Certains membres du CP exploitent même des secteurs économiques, tels que l'agriculture, en vendant des licences pour des transactions avec la Chine. D'autres utilisent leur position pour vendre des postes de direction générale dans des secteurs lucratifs. Déjà, trois membres du CP sont impliqués dans un scandale où ils réclament une somme importante d'argent à quelqu'un pour garder son poste. Cette pratique de corruption est profondément enracinée et ce sont ces politiciens corrompus qui perpétuent ce système. Leur manque d'éthique et d'intégrité contribue à l'insécurité en Haïti en sapant la confiance de la population dans les institutions et en alimentant la corruption.

B. Le choix d'un Premier ministre qui est imposé par une puissance internationale peu appréciée en Haïti a également des conséquences néfastes. Cette personne est connue pour son implication dans des fraudes électorales, la dilapidation de fonds destinés à la reconstruction du pays, et la protection de personnes au pouvoir qui ne gouvernent pas dans l'intérêt collectif. En conséquence, la population haïtienne ne lui accorde pas son soutien, ce qui crée un manque de légitimité et d'adhésion à ses actions et décisions. Le manque de soutien populaire rend difficile la mise en œuvre de réformes et de politiques efficaces pour faire face aux problèmes d'insécurité. Il est essentiel d'avoir un leadership politique crédible et soutenu par la population pour mettre en place les mesures nécessaires pour un véritable changement.

Le choix du Conseil présidentiel et du Premier ministre a des conséquences significatives sur l'insécurité en Haïti. Les membres corrompus du CP perpétuent la culture de la corruption et de la malversation, sapant la confiance de la population dans les institutions. De plus, le manque de soutien de la population envers un premier ministre imposé par une puissance internationale peu appréciée entrave la mise en œuvre de réformes efficaces. Pour un véritable changement, il est essentiel de sélectionner des leaders politiques intègres et soutenus par la population, capables de lutter contre la corruption et de mettre en place des réformes nécessaires pour garantir la sécurité et le bien-être collectif en Haïti.

 

IV. Les problèmes systémiques qui alimentent l'insécurité en Haïti

La situation d'insécurité en Haïti est alimentée par plusieurs problèmes systémiques qui ont contribué à sa détérioration au fil des années. Il est essentiel de comprendre ces problèmes pour identifier les solutions nécessaires pour un véritable changement.

A. La destruction de l'institution des Forces armées d'Haïti en 1994 et l'émergence des bandes armées et des chefs de gangs lavalas : Après la chute du régime dictatorial en 1994, l'institution des Forces armées d'Haïti a été démantelée. Cela a créé un vide de pouvoir et a favorisé l'émergence de bandes armées et de chefs de gangs tels que Kovington, Dread Wilmé, Kolobri, Labanyè, Ti Claude, Ronald Cadave, Dread Iti, Dread Mackendy, Billy, Evens Bwa Lyann, Tupac, Toutou Dan Sere, Ti Robinson, Jal Bibi, Toto Shérif, Jeneral Titi, Yoyo Piman, Black Pepa, Dom laj, Black Samel, Jean Renel, Une balle à la tête, Ti Blan, Kolonèl, Jah Rull, Blade Nasson, Jeneral kiki, Gros Frantz, Grenn Sonnen, Ti Elize, Amyot Meteye, Ti Gabriel, Kolonèl Ravix, Leo Messi 117, Komandan Wilkens, Jénéral Kenkenn, Evens Tikouto, Jean Renald Dan Fè, Junior Doy, Komandan Demostèn, Ti Kemso, Pablo Escobar, Komandan Gwouf, Ti Hougan, Daniel, Tije, Odma, Depòte, Karl Henry, Arnel Joseph, Ti Jude, Manilo, Kanaldivan, Ti Makak, Franco Camille, Ronald Kadav, Gwo Fefe, John Joel Joseph, Matyas, René Momplaisir, Ti lesly, Kolibri, Felix Bien Aimé, Ti blan, Biron Odigé, Gwoup 5 pou lanfè, Amaral elatrye. Certains membres de ces groupes ont même réussi à intégrer des positions politiques et ont été élus en tant que maires, députés, sénateurs, et ont bénéficié d'une protection de sécurité. Cette situation a contribué à l'instabilité et à l'insécurité en Haïti.

B. La destruction de la production agricole et l'implémentation du plan néolibéral : La privatisation des moyens de production nationale au profit d'une oligarchie non progressiste a entraîné la destruction de la production agricole en Haïti. Cette oligarchie a arrêté toute production nationale et s'est engagée dans un monopole consistant à importer des produits pour les revendre sur le marché, ce qui a conduit à la dépendance excessive aux importations. Cette dépendance a rendu l'économie haïtienne vulnérable aux fluctuations du marché international et a contribué à une augmentation du chômage et de la pauvreté, ainsi qu'à l'insécurité.

C. La dilapidation des fonds du tremblement de terre de 2010 et la fraude électorale ayant conduit à la présidence de Michel Martelly, chef du parti PHTK : Après le tremblement de terre dévastateur de 2010, des fonds internationaux destinés à la reconstruction ont été détournés ou mal utilisés. De plus, des fraudes électorales ont eu lieu, permettant à Michel Martelly, le chef du parti PHTK, de devenir président. Ces actes de corruption et de fraude ont sapé la confiance du peuple haïtien dans le système politique et ont renforcé l'insécurité en Haïti.

Les problèmes systémiques tels que la destruction de l'institution des Forces armées, l'émergence des bandes armées et des chefs de gangs, la destruction de la production agricole, l'implémentation du plan néolibéral, la dilapidation des fonds du tremblement de terre et la fraude électorale ont tous contribué à l'insécurité en Haïti. Pour un véritable changement, il est crucial de s'attaquer à ces problèmes de manière holistique et d'identifier les solutions nécessaires. Cela implique de neutraliser les acteurs responsables de l'insécurité, de remettre en question la sagesse et la volonté des dirigeants politiques, de promouvoir l'emploi basé sur la compétence et les valeurs, de renforcer les institutions de sécurité, de reconstruire l'économie agricole, de lutter contre la corruption et la fraude électorale, et de renforcer la confiance du peuple haïtien dans le système politique. Un véritable changement ne peut être réalisé qu'en abordant ces problèmes systémiques de manière collective et en mettant en œuvre des mesures concrètes pour assurer la sécurité et la prospérité en Haïti.

 

V. Les conséquences directes de l'insécurité pour la population haïtienne

L'insécurité en Haïti a des conséquences directes qui affectent de manière significative la vie quotidienne de la population. Il est important de comprendre ces conséquences pour prendre conscience de l'ampleur du problème et de la nécessité de mettre en place des solutions adéquates.

A. Les ventes d'armes et de munitions, les enlèvements contre rançon et les trafics illégaux : L'insécurité en Haïti a créé un marché lucratif pour les ventes d'armes et de munitions illégales. Les gangs et les groupes criminels profitent de cette situation pour se procurer des armes et commettre des actes de violence. De plus, les enlèvements contre rançon sont devenus monnaie courante, avec des individus et des familles entières étant pris en otage et demandant des sommes exorbitantes pour leur libération. Ces activités criminelles alimentent le cycle de l'insécurité et contribuent à un climat de peur et d'instabilité au sein de la population.

B. Le déplacement forcé de population et la protection des gangs par des organisations de droits de l'homme : L'insécurité en Haïti a entraîné le déplacement forcé de nombreuses personnes. Les citoyens sont contraints de quitter leur domicile et leur communauté en raison de la menace constante de la violence et des activités criminelles. Ce déplacement affecte non seulement leur sécurité, mais aussi leur accès aux services de base tels que l'éducation, la santé et l'emploi. De plus, certaines organisations de droits de l'homme, qui sont censées protéger les droits et la sécurité des individus, peuvent parfois être infiltrées ou corrompues, ce qui permet aux gangs de bénéficier d'une certaine protection et d'agir en toute impunité.

Il est essentiel de reconnaître les conséquences directes de l'insécurité en Haïti, telles que les ventes d'armes et de munitions illégales, les enlèvements contre rançon et les trafics illégaux, ainsi que le déplacement forcé de population et la protection des gangs par certaines organisations de droits de l'homme. Ces conséquences ont un impact profond sur la vie des Haïtiens, sapent leur sécurité et leur bien-être, et nécessitent des mesures urgentes pour y remédier.

 

VI. La nécessité de neutraliser les acteurs responsables de l'insécurité, certains politiciens, certains membres de l'oligarchie, des gens faisant partie de l'organisation criminelle transnationale impliquant dans le trafic d'armes et de munitions, de drogues, d'organes humains, d'hommes, de femmes et d'enfants, certains Haïtiens dans la diaspora qui envoient des conteneurs de marchandises, ainsi que les frontières poreuses avec la République dominicaine et la surveillance des criminels provenant de la Jamaïque et d'autres pays.

A. La remise en question de la sagesse et de la volonté du Premier Ministre : Il est essentiel de remettre en question la sagesse et la volonté du Premier Ministre en ce qui concerne la lutte contre l'insécurité en Haïti. Il est nécessaire que le Premier Ministre montre une réelle détermination à neutraliser les acteurs responsables de l'insécurité, y compris certains politiciens et membres de l'oligarchie qui pourraient être impliqués dans des activités criminelles. Une volonté politique forte est essentielle pour mettre en place les mesures nécessaires et mobiliser les ressources afin de lutter efficacement contre l'insécurité.

B. L'importance de l'emploi basé sur la compétence et les valeurs : Pour un véritable changement en Haïti, il est crucial de promouvoir l'emploi basé sur la compétence et les valeurs. Il est nécessaire de créer des opportunités d'emploi pour la population haïtienne, en particulier les jeunes, afin de leur offrir des alternatives positives et légitimes. Cela peut contribuer à réduire l'attrait de l'industrie de l'insécurité en offrant des perspectives d'avenir et une stabilité économique. De plus, en favorisant un environnement de travail basé sur les compétences et les valeurs, on peut encourager la responsabilité individuelle et promouvoir des comportements éthiques, ce qui peut également contribuer à la réduction de l'insécurité.

Il est impératif de neutraliser les acteurs responsables de l'insécurité en Haïti, y compris certains politiciens, membres de l'oligarchie, personnes impliquées dans des organisations criminelles transnationales, Haïtiens dans la diaspora, ainsi que de renforcer les frontières et la surveillance des criminels provenant d'autres pays. De plus, il est essentiel de remettre en question la sagesse et la volonté du Premier Ministre et de promouvoir l'emploi basé sur la compétence et les valeurs pour lutter efficacement contre l'insécurité et créer un véritable changement dans le pays.

 

Conclusion:

L'industrie rentable de l'insécurité en Haïti continue de prospérer en raison de la complicité des politiciens traditionnels et de certains acteurs clés du pays. Pour véritablement changer la situation, il est essentiel de rejeter ces groupes formés de mercenaires politiques (les politiciens traditionnels) et de mettre en place un gouvernement qui apporte des idées nouvelles, un plan de développement réel et une volonté sincère d'implémenter une structure de gestion nationale pour un changement réel. Il est également crucial d'identifier, de monter un dossier pour chacun, et de neutraliser les acteurs responsables de l'insécurité, notamment en remettant en question les choix du Conseil présidentiel et du premier ministre. En mettant fin à la mauvaise gouvernance et en favorisant l'emploi basé sur la compétence et les valeurs, Haïti pourra enfin améliorer les conditions de vie de sa population et construire un avenir meilleur.

 

Dr. James Joseph (DNP)

Alumni, Économie Politique, Henri George School of Social Sciences

 

Références

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