Haïti : l’édifice effondré ! « Chimen bouton se chimen kansè » !

Comme un château de cartes, un édifice qui se salit et se fissure encourt le risque imminent de s’imploser et se néantiser dans la triste mémoire de l’histoire. Haïti est labélisée véritable cobaye consentant du laboratoire d’expérimentation de la théorie de la vitre brisée «Broken Window Effect» qui stipule qu’une seule bêtise est susceptible d’engendrer la multiplication des fissures du tissu social dans son intégralité.

Les simples signaux d’incivilité, d’absurdité et de voracité sous le bouclier de l’impunité qui prennent cours dans une société amorcent un cercle vicieux susceptible d’aboutir à des transgressions plus sinistres, quasiment irréversibles. Un larcin anodin qui ne fait l’objet d’aucune censure par les parents ou par la vigie publique est enclin à se conforter pour se transformer plus tard en un cambriolage sauvage.

C’est dans la noble perspective de protéger les valeurs sociétales qu’un procès pénal ne se réduit pas qu’entre l’auteur présumé de l’infraction et la victime. Les arguments du ministère public qui fait office de défenseur de la collectivité viennent aussi enrichir les plaidoiries avec l’objectif suprême de faire briller la lumière et de dissuader le récidivisme et d’autres comportements déviants.

Question d’éviter la prolifération de la criminalité et de la perversité, les instances sociales élaborent des cadres judiciaires qui incorporent des mises en garde dans l’intérêt du bien-être collectif. Anthume ou à titre posthume, les sages s’adossent au droit en penchant sur les dossiers des coupables afin d’empêcher aux mauvais larrons et aux démons de se conforter dans leurs cruautés. Toutefois, remarquons qu’au procès de Nuremberg à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, le tribunal optait de ne pas juger Adolf Hitler, suicidé avant la fin de la guerre, afin de ne pas donner l’impression qu’il était encore vivant.

Dans les sociétés avisées - présent ou absent, mort ou vivant - celui qui se dévie des principes de justice, notamment qui commet des crimes contre la paix et contre l’humanité, est jugé et condamné par devant les tribunaux. Le droit n’ignore personne, ni même les morts.

D’actes pernicieux à des institutions perverses

En effet, à force de laisser les maniaques de la barbarie et de la médiocratie pénétrer les structures vitales de la société dans le libertinage d’une certaine stratégie d’approche inclusive mésinterprétée, les actes abominables ne se peineront point à se « normaliser ». En conséquence, ce sont les sentiers de l’excellence propices à la découverte de personnalités dignes à qui confier la Cité selon les vertus de la méritocratie qui s’obstruent dans une ligature funeste.

Graduellement, dans un élan dégradant, le sens de la dignité, de la justice, de la perfection, de la vérité et de la lumière deviendront ainsi des denrées en voie de disparition. Tel est tristement le décor macabre exhibé à l’ancienne perle des Antilles, un véritable diamant transformé en chrysocale.

En raison des imprudences de l’élite saine dans le stupide paralogisme de son auto-éviction sur la scène politique au cours des récentes décennies, sont pondues des mouvances destructrices d’une kokoratisation acharnée consolidée dans les ambiances dévergondées, tricheuses et de nivellement par le bas « Ouvè le kò», « Nou pa egare » et « Pito nou lèd nou la ».

En revanche, par opposition aux déviances déroutantes, les sociétés modernes font plutôt la promotion de la science et de la compétence aux postes politiques afin de s’assurer la carte de la transparence, l’efficience et la luminescence dans l’implémentation des projets publics. C’est à travers la dynamique « Ouvè lespri » que les nations civilisées apprivoisent les caprices du cosmos, les jeux diplomatiques et les enjeux économiques et géopolitiques tout en promouvant la magie de l’image dans la finalité d’inspirer les générations descendantes. De tels objectifs nobles seraient-ils l’apanage de présidents indécents, ministres sinistres, directeurs généraux déloyaux et parlementaires sans lecture ni écriture, sans foi ni loi, impliqués dans les trafics illicites, le vol, le viol et le kidnapping ? Point du tout.

Depuis l’intronisation des capitaines de cette équipe politique corrompue jusqu’aux moelles, arrivés comme des extraterrestres au timon des affaires de la nation, dealers et leaders s’associent, se côtoient et se flattent pour amplifier les laideurs et les malheurs de la société dans une immense douleur.

Il n’y aurait pas de limite dans la descente aux enfers. En dehors d’une conscience collective assortie d’une sainte colère du peuple et de l’élite probe vers l’autodétermination pour remettre à l’heure les pendules d’une société inclusive guidée par la paix, la justice, l’éducation et la santé, Haïti exhalera définitivement son dernier souffle.

Complicité et culpabilité de l’intelligentsia dans la débâcle

« J'ai péché en pensée, en parole, par action, et par omission ».

La cécité et la surdité des entités clés qui devaient garantir la lumière et la culture de l’excellence dans les vécus quotidiens de la Cité accusent une part copieuse dans le menu de ce fiasco fécal intégral offert par les bandits « légal » des 400% matières répugnantes trônés à la tête du pays dans la négligence la plus révoltante.

Un des nôtres invectivait, baissait sa culotte pour exhiber ses derrières en des pratiques répugnantes; il chipait, il se droguait (avoue-t-il). Par la complicité d’une immixtion internationale malveillante qui faisait le pont avec Opont et ses complices d’un CEP servile, carte blanche avait été accordée à la bêtise pour que le badigeonnage monte l’estrade officielle pour extrader les valeurs et les ressources de la nation dans la plus grande facilité.

Mais non ! Le destin d’un pays ne peut se décider tel un jeu de PlayStation à Walt Disney, une partie de casino à Las Vegas ou un exercice de Kindergarten où seraient permis les rapiéçages et les rafistolages en des improvisations impulsives. Que pourrait-on attendre d’un orchestre d’amateurs coiffés présidents et premier ministres qui n’avaient jamais à analyser un seul projet de société ? Haïti a semé le vagabondage pour récolter le cambriolage, le sauvage et le lynchage. Logique.

Au cours de cette dernière décennie d’ineptie politique inédite, la crasse le remporte sur la classe ; le vorace évince le loyal, la pétasse brasse au sommet; la limace se croit le plus malice. Les cons, larrons, démons, dealers et croupions officiels ont envahi les sphères stratégiques de la République pour offrir en permanence des spectacles tragicomiques. Ce décor psychotique monstrueux se résulte en une véritable grossesse ectopique en perdition que seule une césarienne ou une couche miraculeuse saura délivrer.

Dommage que l’université, l’église, la société civile et toutes les institutions élitistes du pays n’ont rien appris ou compris du fervent plaidoyer du docteur Jean Price Mars tenu dans « La vocation de l’élite ». Désordre électoral, scandale financier, investiture létale de la perfidie, du factice et du vice dans les structures gouvernementales coiffant la gouvernance bancale ; officiels sans gêne ; les sentinelles notent avec regret un mutisme sépulcral des forces vives de contrebalance capables de faciliter un retour à un équilibre sociétal favorable aux plus vulnérables.

L’endoscopie a révélé que la patrie est dépérie en de graves facéties et des péripéties politiques colossales qui se soldent par une asthénie économique inquiétante. Dans la synchronie et la synergie, l’intégrité et le courage doivent se résoudre de déguerpir la bêtise de la périphérie et de la profondeur des axes stratégiques de la Cité. Dans ce creux institutionnel abyssal, il y a urgence pour que les rares acteurs honnêtes des structures et superstructures se mettent de la partie en vue de sauver le prestige de la patrie.

L’impunité, mère des conduites récidivistes

Hier, les balises sociales laissaient couler dans la passoire trouée de partialité et de fanatisme aveugle, le mensonge, l’imposture et la médiocrité pour occuper les fauteuils décisifs des salons les plus prestigieux de la république. Surprise aucune que l’espace de l’intimité sociétale soit aujourd’hui badigeonnée de forfaiture et de toutes les souillures avant de déboucher sur les crimes les plus odieux. Comme un château de cartes, un édifice qui se salit et se fissure encourt le risque imminent de s’imploser et se néantiser dans la triste mémoire de l’histoire.

Malheureusement, c’est le sombre tableau apocalyptique qui se dessine dans le cas de la république historique qui court à vitesse TGV dans une crise systémique qui sape les références et les valeurs patriotiques. Les pylônes solides de la patrie sont fendus et constamment choqués en des coups traîtres morbides et sordides aux secousses terriblement tragiques.

Volontiers ou à contrecœur, en acceptant la candidature d’un vandale aux structures politiques les plus basiques telles que l’Asec, la Casec, la mairie; alors on laisse le champ libre pour que le gangster aspire demain à siéger à la Chambre, au Grand Corps, voire à la première magistrature du pays.

Tu es complice de kidnapping, de vol, de délit en des conflits d’intérêts patents ; rien n’empêcherait que tu hallucines de poser tes fesses au fauteuil de la magistrature suprême. Il suffit que tu puisses arroser les conseillers affairistes du CEP, graisser les pattes des porteurs de la toge souillée de la basoche, et les verrous seront sautés.

Sain et sauf tu sortiras si tu connais les couloirs de l’État moribond truffé de chefs répugnants qui se pavanent dans une schizophrénie épileptique épicée de mégalomanie et de cleptomanie. En dépit de ta connivence dans le kidnapping ravageur avec des criminels notoires, malgré ta culpabilité en des coïncidences bizarres dans les missions de mercenaires - version assassinat imaginaire du Premier ministre puis version assassinat réel du président - personne ne verra en toi un mauvais « Habitant » si tu sais comment « gouyer » dans ce système maudit.

La société a vu et entendu tes crimes financiers en des blanchiments d’argent, des forfaitures à la questure du Parlement ; tes projets macabres de dorvalisation, saintilarisation et décapitation de la matière grise par l’éminence criminelle grise sous ta direction. Mais, puisque tu es bien « souché », alors ton dossier louche sera effacé, purifié et verrouillé à triple tour aux tiroirs de la DCPJ.

Le Parquet, détenteur du brevet de persécution et de la chasse aux sorcières « deux poids, deux mesures », saura emboîter le pas en des faux-pas accélérés et des débats dialectiques décélérés dans une justice biaisée, blasée et aux yeux bien bandés qui voit de toutes les couleurs.

Toi qui purgeais ta peine en prison - immergé dans les eaux sales des sales boulots de crimes humains, injustices sociales, deals de cocaïne, négoces féroces d’armes illégales - tu remonteras la tête de l’eau sans une goutte pécheresse ; plus blanc que la neige. En maire, député ou sénateur tu te métamorphoseras dans la mesure où tu sais jouer le jeu des journalistes arrivistes, des patrons de médias affairistes et des prostitués de l’onde qui marchandent leurs micros et leurs studios. Bienvenu aux plus offrants aux invités du jour, aux échanges et débats sans fond sans forme, matin, midi et soir.

O Non Dieu ! « De grâce » ! Nous sommes perçus aux yeux du monde entier comme des « Habitants » pernicieux. C’en est trop ! Aucune société ne peut se pérenniser en l’absence des références de la morale et de l’éthique.

D’un bouton bénin à un cancer fatal, le chaos infernal

A ce stade critique, il ne fait l’ombre d’un doute que la plaie d’avant-hier s’était transformée graduellement en un cancer. Puisqu’aucun suivi de chimiothérapie n’a été assuré, la tumeur a atteint aujourd’hui sa phase terminale pour plonger le pays dans un chaos quasiment irrémédiable.

Lundi, la simple suspicion d’un dealer dévoué à occuper un fauteuil au Sénat s’éclate à la face de la société comme un fait insolite. Mardi, le bruit court qu’un représentant à la Chambre basse a été pris la main dans le sac en des actes de manipulation perfide de transformation de « zéro en neuf »; mercredi, la société constate que l’écharpe bicolore a été passée à un criminel notoire pour siéger officiellement comme leader politique. Ce qui lui confère le droit d’assiéger et oindre d’imposture et d’usurpation les sphères des ministères, des organismes autonomes et de la diplomatie nationale et internationale.

Jeudi ; sénateurs, députés, ministres et conseillers spéciaux ont été incriminés d’actes de kidnapping, de fraude et de détournement de fonds publics. Vendredi, des bandits de grand chemin, vivement recherchés par la police et la justice, ont été pourvus de mitraillettes, M-60, kalachnikovs et munitions en provenance d’officiels du législatif et de l’exécutif qui les bichonnent en mangeant et en buvant avec eux quotidiennement.

Bandits à cravates et crapules des rues barricadées et des bidonvilles décivilisés fréquentent les mêmes casinos. Ils circulent dans les mêmes véhicules ; ils se passent les mêmes bouteilles de bakara, les mêmes verres de Barbancourt, les mêmes assiettes, les mêmes gonzesses ; des figures connues des mêmes bordels, des mêmes krèy, des mêmes makrèl.

Dans le réel et dans l’abstrait, les escrocs officiels dans le couloir de la présidence, de la primature, des ministères et de l’élite économique crasseuse adulent les assassins des villes pourries et des ghettos détraqués comme des frères congénitaux.

Auteurs intellectuels du crime se confondent avec intellectuels flagorneurs qui conçoivent la chaine de la criminalité par le truchement d’une matière grise criminelle mosaïque, multicolore, multi-tête, pour opérer le sale boulot de trafic illicite dans un climat de peur généralisée dans la perspective malhonnête de se pérenniser dans la bulle officielle. Sans exception de genre, de couleur et de classe sociale, les démagogues politiques se jettent au même jeu pervers d’une course effrénée à l’enrichissement illicite.

Samedi, les officiers de la structure judiciaire qui juraient de « protéger et servir » traumatisent tout ce qui respire dans une série de manifestations crapuleuses et incendiaires. Ils opèrent des actions fantômes diaboliques pour dégainer devant les bureaux publics, menacer des cadres de l’administration et calciner des véhicules immatriculés SE et OF.

En fonction du pactole, une kyrielle d’agents déloyaux infiltrés dans ce corps de police squelettique seraient capables de servir dans la fidélité et desservir dans la même loyauté des intérêts antagoniques. Les mains et cerveaux maculés dans la diffamation, la diversion et la conspiration en profitent pour faire un usage excessif qui avilit les fières armoiries nationales qui nagent dans la pestilence.

Dimanche; des ministres, directeurs généraux, patrons de médias, directeurs d’opinions, conseillers et personnages honorifiques dans le sillage de la primature et de la présidence se convertissent en racketteurs pour vendre des visas, parapher des contrats surfacturés en dehors des normes du marché public, puis en assassins pour organiser des missions génocidaires sous les auspices des petits monstres qu’ils ont créés.

Quand les sales démons nationaux au contrôle de BBQ, Izo et mawozo s’avèrent incompétents et impotents, l’expertise de mercenaires et snippers auprès de l’international est sollicitée en vue de mettre des balles à la tête, au cœur et aux poumons de la population exaspérée par les indénombrables mensonges présidentiels polymorphes et multicolores de bananes pourries.

Dans le seul but de sauvegarder un pouvoir fébrile en quelques bouffées d’oxygène supplémentaire dans la bulle officielle toxique, le feuilleton démoniaque de pays lock de février 2019 a vu une palanquée de cadavres jonchés les trottoirs, gratuitement. D’aucuns pensaient à un Armageddon partiel de ce coin du bassin de la Caraïbe quasiment jeté dans la géhenne.

Cette présidence inapte à contrôler les entrées et les sorties d’armes et de munitions même au palais, a été victime elle-même, de manière la plus ignoble et la plus atroce. Certains observateurs auraient évoqué un auto-goal, tellement les tactiques, les setplays et les jeux étaient viciés contre l’équipe en place qui jouait un jeu de qui perd gagne, à dessein pour des coéquipiers, mais sans le savoir pour d’autres.

Jusqu’à preuve du contraire dans cet arbitraire farouche pour conspirer un récit indigestible de l’assassinat du président monomane, cette hypothèse d’un coup traitre porté par le chien du maître ou le maître du chien ferait sens lorsque l’on sait que toutes les forces se concentraient dans un seul et même camp. Les spécialistes en sécurité et sureté publique auraient soutenu la thèse rhétorique « Pourquoi le chien n’a-t-il pas aboyé ?» pour clairement prouver que le coup a été affaissé de l’intérieur. En tout cas, cette fin ultime macabre de cette présidence mosaïque en démence est désastreuse.

La chute libre en parachute déchirée

Depuis l’aube jusqu’au crépuscule, du lundi au dimanche, de janvier à décembre, twenty-four/seven, 365 jours l’année, les négativités et les risques vont crescendo; les scandales ainsi que les actes criminels spectaculaires s’amplifient. Au cours de la dernière décennie, Haïti est passée du stade d’une seule fenêtre brisée à celui d’un effet domino horrible vécu comme une explosion généralisée de tous les acquis de l’éthique, du civisme et du sens patriotique.

L’insécurité s’impose comme un Goliath; l’injustice s’accélère dans un champ libre; la criminalité prend le large, le déshonneur est à l’honneur, l’indécence se déploie à vive allure. La parole officielle est incohérente, vacillante et banalisée; l’autorité publique est anéantie; le mensonge évince la probité ; la flagornerie officielle s’extériorise sans aucun gène. Le chawa-pete pourrit la jeunesse; la pratique perverse « Ouvè le kò» a mis K.O l’idéologie innovatrice «Ouvè lespri».

Pourtant, élément basique de tout système démocratique classique, les crimes physiques et psychiques commis par des sadiques officiels et officieux ne devaient violer les augustes références de la justice. Par ces temps ténébreux, on constate que de tels principes protectionnistes et dissuasifs sont jetés aux oubliettes historiques par des gènes ataviques qui encouragent l’impunité en raison de leurs intérêts narcissiques.

A l’ère de la modernité, aucune société ne saurait se détacher des chaines de la criminalité et de la pauvreté en absence du sens de la justice que le philosophe Socrate baptise d’excellence de l’âme. Quand l’impunité constitue la règle et l’état de droit l’exception, c’est toute l’humanité qui en fait les frais.

Juste imaginez si les atrocités d’Adolf Hitler échappaient aux yeux de lynx des tribunaux internationaux, la planète aurait alors lancé le message autodestructible que le racisme, les outrages et les crimes tragiques peuvent s’orchestrer librement. Sous prétexte d’une factice sympathie suite à « l’assassinat crapuleux », mais opaque du président indécent, la vigie ne saurait éteindre ses paupières sur les crimes financiers qu’a perpétrés la famille présidentielle cleptomane et mégalomane.

En vertu des coups mortels assenés par la kakistocratie politique de la récente décennie, l’édifice national est implosé et effondré. Cependant, aussi longtemps qu’il existe une masse critique d’humains déterminés à dégager un leadership au service des politiques publiques, Haïti peut évidemment renaître de ses cendres. Margareth Mead nous rappelle que le changement arrive toujours d’un petit groupe. Le décor attrayant relève surtout de la qualité des leaders. La mairie de Delmas en est un exemple notoire.

En ce timing décisif, ce ne sont pas des « animaux » politiques qui apporteront la paix et la confiance nécessaires au vivre-ensemble dans la Cité. Temps à la dignité et à la probité de s’indigner et de s’engager en vue de recoudre le tissu social déchiré.
Haiti needs to live!

Carly Dollin, carlydollin@gmail.com
Instructor-PhD Student in Economics
Master Student in Statistics
Washington State University (WSU)
wsu.edu

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