Ambassades au service de cartel politique

Théoriquement, une ambassade est l’extension administrative d’un gouvernement étranger à un autre territoire dont la mission consiste à exercer des tâches essentiellement diplomatiques. L’ambassade joue un rôle de médiateur entre les deux pays partenaires. À ce titre, elle est chargée d’enquérir son propre gouvernement sur les réalités du pays d’accueil. Elle doit s’atteler à promouvoir son pays sur les plans économique, culturel et scientifique tout en œuvrant à la stabilité et au développement des relations bilatérales nourries avec le pays hôte.

En aucun cas, une ambassade ne devait être impassible face au méandre de la nation qui l’héberge. D’un point de vue rationnel, elle ne saurait constituer un vecteur de perturbation sociale et politique au détriment du pays partenaire. Au contraire, les ambassades ont tout intérêt à défendre des crédits d’image quand le pays avec lequel elles traitent exécute des projets dans l’intérêt du bien-être collectif.  

Malheureusement, depuis des décennies, les représentants des ambassades les plus opulentes ont constitué des éléments de blocage à la stabilité d’Haïti. Le drame a atteint son paroxysme avec l’avènement du mouvement médiocratique PHTK qui a littéralement recruté des ambassadeurs comme de véreux avocats du diable aptes à blanchir le noir et à noircir le blanc. Au sein des hémicycles internationaux, les ambassadeurs savent défendre du bec et des ongles des dirigeants imposteurs qui sapent la bonne gouvernance.  Sur des chaînes de télévision locales et au Palais national, la société a déjà recensé des ambassadeurs qui montaient au créneau pour semer la confusion sur des dossiers souverains de la république. Merten a été un véritable receleur au chevet des bandits du PHTK. 

Si hier elles fonctionnaient un tant soit peu dans une certaine gêne à se mettre individuellement du côté de la bêtise, aujourd’hui les ambassades se sont ouvertement fusionnées pour se consolider en un Core-Group répugnant promoteur de la prostitution et du crime.  On dénombre des dizaines de cas de kidnapping au quotidien, viols, vols, lynchage, distributions d’armes et de munitions par les criminels à cravates des villes cinglées pour alimenter les bandits à sapattes des bidonvilles détraqués. Pourtant, les ambassades ne publient aucune note pour condamner les barbaries. Au contraire, elles procurent des stratagèmes de procrastination au pouvoir criminel en place pour faire perdurer ce plaisir douloureux. Merci Biden ; merci Trudeau ; merci Macron.

 

La chapelle cruelle PHTK sauvée par le bordel Core-Group

À maintes reprises, au cours de cette décennie de péripétie, le cartel PHTK a été démantibulé par la sainte colère populaire. Pourtant, les ambassades « omnipotentes » concoctaient des manèges pour maintenir en vie ce pouvoir dévastateur qui néantise toutes les richesses du pays. Les incitations de la communauté internationale à épouser l’imposture et la stupidité proviendraient sans doute des énormes retours promis par les imposteurs arrivistes au pouvoir prêts à tout pour satisfaire les caprices du mauvais blanc.

De bons blancs, il en existe à profusion. Mais, des blancs corrupteurs et corrompus, des faussaires au faux air de plénipotentiaires, les yeux de lynx en ont repéré une pléiade au sein d’une flopée de coopérations et de missions soi-disant au profit des vulnérables. « Ce qu’ils ne peuvent oser imaginer à encourager dans leurs propres pays par crainte de subir les lois des institutions régaliennes, ces « voyous » étrangers l’exécutent sans réserve dans les sociétés du Tiers-Monde dépourvues de verrous.

Haïti est un paradis pour les âmes malhonnêtes enclines à se servir de dirigeants marionnettes pour s’enrichir illicitement et profiter sexuellement des fillettes et des femmes. La Minustha se fiche du proxénétisme, des trafics d’influence et des abus sexuels des Casques bleus de l’ONU qui ont pourri la société d’une palanquée d’enfants orphelins de pères. Le résultat du métissage forcé saute aux yeux. Il n’y a pas que les traces du choléra à couler dans le sang de milliers de familles victimes. On y perçoit également dans certaines familles monoparentales des gènes brésiliens, népalais, américains, français, etc.   

Vous avez dit malversation au sein de la Caraïbe, les investigations poussées révèleront que les représentants des institutions internationales en sont les principaux coupables. Ils savent comment faire endosser les sept péchés capitaux de la concupiscence par des ordonnateurs haïtiens. Par contre, parlant du gâteau de la concussion, ils sont les détenteurs de la part du lion qu’ils logent au sein des paradis fiscaux.

Fort souvent, la chaine de la complicité et de la compromission tend à faire porter le fardeau entier des détournements des fonds par un ordonnateur local. Pourtant, si vous voulez discerner le cachet véridique de telles collusions opaques, la dialectique vous invite à mener des investigations sur les missionnaires des ONG et des organisations internationales qui ont résidé en Haïti ne serait-ce pour quelques mois. Vous détecterez la multiplicité des couleurs corruptibles des tenants et des aboutissants du crime financier. Des réseaux mafieux de la région latine et caraïbéenne, de l’Amérique, en provenance de l’Hexagone, sous les Feuilles d’Erable ; la corruption exercée en Haïti est multicolore.

N’est-ce pas qu’une simple traçabilité bancaire suffirait pour faire luire la lumière ombrageuse sur les contrats louches des unités d’exécution locales avec les « faux consultants » internationaux. Tout bonnement, il n’y a aucune volonté manifeste des procureurs des crimes financiers à élucider la question de la corruption avec l’implication des acteurs étrangers. La fameuse CIRH gérée par les espiègles du PHTK de connivence avec la famille Clinton peut en dire long. Les sources du mariage incestueux entre Core-Group et PHTK ne semblent pas si ardues à établir.

 

Pervers d’ici et d’ailleurs, de mèche

La pornographie débridée, la prostitution effrénée des fillettes, l’exploitation outrancière des ressources naturelles ; les voyageurs prédateurs s’entendent avec les dirigeants malfaiteurs pour utiliser des jeunes comme des cobayes pour leurs pratiques insensées de krèy et de makrèl.  Le rapport de la FIFA expliquant les connivences douteuses des officiels du Football locaux qui jettent nos jeunes filles et nos jeunes garçons à la boucherie de la débandade sexuelle n’est certainement pas une exception. Merci Dadou !

Masturbation officielle, trafics d’influence, misogynie, harcèlement sexuel, exploitation de mineures, le « 400% bulshit » a quitté les boîtes de nuit pour se faufiler pernicieusement dans les boîtes publiques. Compliments PHTK !

« Il n’est jamais trop tard pour bien faire », certes. Mais entendons-nous, les dégâts sociaux peuvent se révéler irréversibles si la vigilance lésine à laisser entrer des « cochons et des cabris » pour piaffer dans le jardin. Le timing est décisif dans les prises de décision de sauvetage national. Plus on procrastine à foutre un coup de pied dans la fourmilière, plus l’éminence criminelle prend du terrain pour rendre imminente la disparition du pays de la carte mondiale.  Il faut stopper l’hémorragie dans la célérité. Aujourd’hui est déjà très tard.

Par la sainte colère des Haïtiens conséquents de la diaspora, le morpion Martelly a remporté le prix du champion persona non grata ! C’est bien de brandir un carton rouge d’expulsion aux cambrioleurs qui ont dilapidé les richesses de notre pays et qui veulent continuer à nous ridiculiser. Cependant, il serait mieux de boucler l’accès au vice et au cannabis dans les affaires sérieuses de la nation. « Prévenir vaut mieux que guérir ». Les erreurs d’hier ne doivent point se répéter.

Un pays ne saurait être un jeu de Playstation entre les mains d’amateurs et de tafiateurs insouciants. Ce n’est non plus une expérience de Kindergarten où le bricolage et le rapiéçage seraient permis. Des imposteurs et sniffeurs qui se livraient à tous les plaisirs charnels et qui ne faisaient que bafouer et désacraliser les institutions sacrées ne sauraient gouverner une nation. Quand tu plantes le vagabondage, tu ne peux être surpris de récolter le sauvage. Puisse Haïti en tirer la leçon en exigeant intégrité et compétence dans les positions décisives de la Cité.  Haïti tutoie les abysses dans une fine proximité. La société doit mettre un frein à cette descente accélérée aux enfers. Il faut un retour à l’équilibre.

Hier, on pouvait se tromper sur la bonne mauvaise foi de la communauté internationale à faire d’Haïti le dindon de leur farce. Aujourd’hui, tous les doutes sont enlevés ; les preuves sont palpables. En prenant position pour les criminels de ce régime bordel et en promouvant la fédération du banditisme musclé, les représentants des ambassades sont bien des artisans de nos malheurs. Haïti doit se prendre en main pour frayer son propre destin.

Le processus salvateur semble se dessiner sans ambiguïté. Primo, l’intrépidité citoyenne doit se débarrasser des cons, des aliborons, des macarons, des barons et des pharaons du banditisme au bercail et à l’étranger. Secundo, la conscience populaire doit plébisciter aux postes clés de la Cité des personnalités intègres et compétentes.

Le temps n’est pas notre ami. Les dirigeants actuels indexés dans tous les crimes sont des chronophages et des anthropophages. Ils misent sur la procrastination pour respirer quelques bouffées d’oxygène dans la petite bulle officielle. Ils sont des experts à nous tuer et à tuer le temps. Il revient au peuple courageux de changer le décor immédiatement en déposant ces joueurs pervers sur des civières pour les envoyer au vestiaire. Purement et simplement.  

 

Connivence étrangère dans la criminalité

Dans leur velléité de gagner en puissance, les ambassades se sont fédérées en un corps répugnant. En parallèle avec ce Core-Group, coexiste dans la capitale la fédération des gangs criminels « G-9, familles et alliés détraqués ». Deux corps différents par la tête de leurs représentants, mais détenteurs d’une même mission luciférienne, celle de détruire Haïti. Celui représenté par des gens à cravates est encore plus cynique, car nourri par une éminence criminelle grise. D’ailleurs, les organisations internationales auraient contrôlé les artères du pays via leurs contacts privilégiés avec les tortionnaires des rues dont ils font l’éloge dans leur regroupement de se muscler dans une « union fait la force diabolique » contre la sûreté publique.

Par moment, ces politiciens acrobates aux manteaux de fervents diplomates servent d’intermédiaires « derrière le rideau » pour planifier des conférences et interviews à répandre par ces gangs. Du vedettariat sanguinaire sur les ondes locales et sur des stations de télévision bien côté au niveau international, les corps criminels savent attirer les projecteurs locaux et étrangers. Ils s’en fichent de la magie de l’image qu’ils choisissent plutôt d’expérimenter négativement. Haïti devient un laboratoire de l’expérience de la théorie de la fenêtre brisée. On disait derrière chaque gang se cachaient des députés damnés et des sénateurs malfaiteurs. Aujourd’hui, des protagonistes internationaux voleraient la vedette aux parlementaires déchus. Ils en sont les commanditaires de l’érection de ces animaux sauvages, pourtant c’est encore ces malandrins des coopérations internationales qui recruteront des cartographes pour exhiber les zones rouges pourries de malfrats dans la Cité.

Chaque gang est parrainé par des groupes d’intérêt sis à Washington, à Ottawa et à l’Hexagone qui les protègent en contrepartie de retours non dévoilés. Déjà la Chine depuis des lustres, mais aujourd’hui, la Turquie et la Russie seraient à la recherche de leur part du gâteau. En conséquence, les nouveaux envahisseurs semblent mettre du sable dans le moteur des mafieux de l’Occident traditionnel. C’est de bonne guerre au profit de la nation faible. En effet, c’est fort souvent par la dialectique des armes ou par l’arme de la dialectique entre les géants du capitalisme fou que la vérité se dévoile pour profiter aux plus vulnérables. Probablement, par la vertu de la théorie des jeux, Haïti aurait intérêt à développer des stratégies intelligentes pour coopérer avec des acteurs en conflit déclaré. « Une femme attrayante sort toujours gagnante quand son nombre de courtisans s’accroît ».

Depuis la nuit des temps, les yeux de lynx ont percé que la liquidation des ressources naturelles était à la base de la connivence étrangère à remplir les sphères stratégiques du pays de bandits et de dirigeants débris. Cependant, il a fallu constater l’arrivée des dévergondés du réseau mafieux PHTK pour se rendre à l’évidence que la perversion sexuelle y est un motif additionnel.

Au vu et au su de tous, l’Occident veut imposer des décrets pervers pour faciliter le couplage de l’espèce humaine avec l’espèce animale, de pubères avec des adultes, des sexes homogènes. Ces pratiques perverses sont diamétralement opposées aux us et coutumes des héritiers de la république historique qui tablent sur d’autres référents. Comme des anacondas à avaler tout vivant, les dérives du Nord au Sud ne s’alimentent plus par la diplomatie hypocrite. Les représentants des organisations internationales s’avilissent sous les projecteurs de la dialectique et de la maïeutique.

Tout nus, crus, bien pointus, les Léviathans endiablés dans une rancune séculaire envers Haïti montrent leurs griffes destructrices. Ils veulent tout bonnement la disparition de la Première république noire qui a osé casser les chaînes chtoniennes pour se libérer de la fournaise ardente de l’esclavage. Le crime de la dette de l’indépendance n’est pas suffisant. Le laboratoire de la destruction met en œuvre de nouvelles stratégies monstrueuses. C’est en vertu de son impeccable résilience qu’Haïti continue encore de montrer des pouls vitaux.

Les plénipotentiaires américains au service du pouvoir politique malicieux de la dernière décennie sont catalogués champions de la malversation. Seul Ponzi pourrait détrôner ces diplomates affairistes dans leur ruse d’œuvrer à la stabilité du pays. En réalité, la plupart de ces représentants perfides passent à côté de leurs nobles attributions en prenant leurs bâtons pèlerins pour défendre les politiciens croupion qui les facilitent à s’enrichir déloyalement au cours de leur mandat. C’est gravissime quand diplomatie rime avec clientélisme.

Notons en passant quand les prétendus plénipotentiaires n’ont plus besoin de ces âmes piètres, ce sont encore eux qui auront manigancé des missions criminelles pour les effacer de l’échiquier, comme du papier hygiénique. Il était un 7 juillet ; les générations présentes et futures se souviendront de cette extermination exécrable sans précédent au plus haut sommet de l’État. Un président en fonction, quoique nul et indécent comme lui seul, ne devait jamais expirer de la pire manière. Même pas un chien à s’offrir en holocauste pour accompagner l’âme présidentielle perturbée en enfer. Bizarre !

Pas une balle de pété ni un pété dans un coton de ses « Bodyguards ». Les projectiles « imaginaires » logés dans les fesses de la première dame feraient l’objet d’un feuilleton alléchant pour la Hollywood. Incohérence sur toute la ligne ; l’audace de Martine a défrayé la chronique lors de ses interventions calamiteuses à la presse internationale. Pendant que Moïse hurlait avec son visa en main vers le pays « sans chapeau », les chiens n’ont pas aboyé. Bizarre ! La dialectique déduit sans risque de se tromper que ce coup cruel a été porté de l’intérieur. « Rat kay, pay kay ». Aujourd’hui, le silence du parrain - un verbomane, mégalomane et cleptomane devenu un « con vaincu » partout sur le globe - demeure très suspect.

Ce ne sont pas les montages occasionnels de vidéos théâtrales hypocrites dédiées au « Prez » qui vont dissiper les suspicions quasiment transformées en confirmation sur le Mastermind du crime. « Galil » à Pétion-Ville pour décapiter un président en fonction; la maïeutique est convaincue qu’il n’y a pas moyen que cette messe funeste soit chantée sans la bénédiction du premier chef de gang à cravate. En tout cas, d’autres observateurs brandiraient : « le parrain a donné le poulain de la banane pourrie et le parrain a repris son Apredye révolté; alors, que le nom du parrain soit béni ». Bref.

 

Omniprésence et omnipotence malveillante

Émeutes, coups d’états, assassinats, limogeage de premier ministre, élections/sélection/ décapitation de chefs d’Etat, les ambassades les plus « omnipotentes » y sont toujours mêlées jusqu’au cou. Elles approuvent et désapprouvent ; elles bloquent et débloquent ; elles font et défont à leur guise. Juges et parties, les ambassades ne sont jamais naïves dans les narratives coloriées sur mesure que l’on concocte à vendre à la postérité « daltonienne » d’ici et d’ailleurs.

Les yeux de lynx n’ont besoin d’aucunes lunettes spécialisées pour y discerner les couleurs des intérêts cachés. Pendant toutes les distractions politiques, les patrimoines, ressources minières et terrains fertiles se liquident en des actes souterrains au profit des parrains étrangers qui tentent (en vain) de changer le destin de leurs poulains devenus persona non grata en tous lieux.

Des zones d’ombre évidentes ; la société n’arrive pas à clairement identifier les propriétaires d’un ensemble de patrimoines nationaux. Pour certains sites touristiques relevant de patrimoine national, tout porte à croire que l’ État haïtien y a été exproprié. Aujourd’hui, les brins de doute se dissipent peu à peu à propos des contrats d’exploitation de mines qui auraient été paraphés entre la famille espiègle Martelly et la famille de piège Clinton.

Entre président impotent imposé par l’immixtion étrangère et président indécent de la CIRH, le mariage bancal a été consommé. Des deals souterrains « noirs sur blancs » semblaient s’opérer depuis le « retour acrobatique à l’ordre constitutionnel » en 1994.  Mais, des verrous institutionnels empêchaient la débandade du blanc méchant dans les ressources naturelles du pays. Avec les « approuves » du PHTK ; point de repère ; point d’obstacle ; point de balise ; point de NON-monsieur Blanc. Le signal du sabotage des Clinton et Co. clignote comme un projecteur exterminateur au cours de ce naufrage sociétal abyssal.

Les « blancs crapules » et les « traîtres fils » sont les meilleurs « amis » de l’Hémisphère. Ensemble, ils manigancent la chute titanesque de la république historique pendant qu’ils maintiennent leurs gilets de sauvetage sous leurs aisselles, dans un égocentrisme maladif. Les « dieux » de la perfidie sont tombés sur la tête. Ils ne se rétractent à aucune exception pour atteindre leur objectif malsain. Ils ont même pris l’option de pourrir les villes et les bidonvilles de jeunes transformés en escrocs, assassins et kidnappeurs qu’ils ont généreusement garnis d’armes de calibre et de munitions.

Une guerre civile serait la seule pièce manquante au puzzle de la disparition de ce pays historique de la carte mondiale. Dieu merci, les Haïtiens - quoique harassés par les tralalas et les blablablas géopolitiques - demeurent solidaires et intelligents. Ils ne laissent pas faire les bêtes sauvages locales et internationales dans leurs manèges de diviser afin que coule du sang innocent entre des frères et des sœurs. Haïti ne saura reproduire le Rwanda de 1994.

À chaque coup affaissé par la traîtrise étrangère, l’espoir haïtien se renourrit en des séries de victoires. Les triomphes des sélections nationales de football, de volley-ball et bien d’autres victoires de nos compatriotes à des compétitions internationales rappellent que ce peuple hérite de gènes spéciaux qui le rendent imbattable. Il ne manque que des têtes politiques valables à placer aux positions stratégiques pour voir les esprits fascinants descendant de Toussaint et de Dessalines rayonner de mille feux.

Puisse l’intelligence imprégner l’élite probe à se résoudre à planifier un complot salvateur entre les gens de bien en vue d’occuper les espaces institutionnels par la science et la conscience. Haïti doit se débarrasser de ses faux-amis et de ses traîtres fils. Il y a urgence dans la demeure.

 

Carly Dollin

carlydollin@gmail.com

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